Si vous envisagez de vendre un bien sur la Côte d’Azur, vous vous trouvez au bon endroit pour découvrir les étapes clés de cette transaction. Ce parcours de vente vous guidera à travers les différentes étapes essentielles du processus, vous fournissant les informations nécessaires pour mener à bien la vente de votre bien. Explorez ci-dessous les 10 étapes clés qui vous aideront à vendre votre propriété sur la Côte d'Azur avec succès. Notre expertise de la région et du marché immobilier local seront à votre disposition pour vous accompagner tout au long de ce processus vers une vente réussie.
Pour vendre son bien au prix optimal dans les conditions et délais idéales, il faut engager une agence qui a :
Pour évaluer le bien il faut prendre en compte des statistiques officielles de vente dans le quartier, la concurrence actuelle, les tendances du marché ainsi que l’attractivité et les qualités du bien lui-même comme l'emplacement, l’exposition, la qualité de la construction et le coût des rénovations potentielles, le PLU et la réglementation urbaine. Nous précisons qu’une évaluation n’est pas complète avant d’avoir analysé les documents listés ci-dessous.
Plusieurs documents sont obligatoires pour la mise en vente d’un bien immobilier :
Concernant la vente d’un bien qui fait partie d’une copropriété, nous aurons besoin des documents suivants :
Quand nous sommes à l’étape de la rédaction du compromis de vente :
L’accord signé entre le vendeur et son agent immobilier (français et agréé) est appelé « mandat de vente ». Ce mandat doit être rédigé en français avec des éléments obligatoires selon la législation en cours. Il comprend :
Avant toute prise de mandat, un document appelé “information précontractuelle du consommateur” sera remis au vendeur. Il s’agit pour ce dernier de connaître ses droits en matière de consommation.
L’offre d’achat ou « l’intention d’achat » produite par un acquéreur potentiel par le biais de l’agent immobilier doit inclure l’identité du/des acquéreur(s) (avec une copie de leur(s) passeport(s)), le financement de l’achat, les conditions particulières éventuelles ainsi qu’une date limite de validité et une date butoir pour la rédaction et la signature du compromis de vente. Cette offre n’engage que le vendeur car une fois signé par les deux parties, le vendeur ne peut pas se rétracter contrairement à cette possibilité qui est donné au(x) acquéreur(s).
Le notaire joue un rôle incontournable dans toute transaction car il est témoin de la signature de l’acte et du transfert du titre de propriété. Chaque partie est en droit de nommer “son” notaire sans que cette décision ait une incidence sur le coût final et sans perdre de vue que chaque notaire est par définition impartial.
Ce premier contrat qui lie les parties est rédigé soit par l’agence immobilière soit par le notaire de l’acquéreur (si ce dernier se trouve dans le département où est situé le bien). Il contient :
Pour un grand nombre de communes, il existe un droit de préemption. Après la signature du compromis, ces communes ont 2 mois pour faire part de leur position relative à ce droit, ce qui explique pour partie, le délai entre les deux contrats.
L’acquéreur se doit de verser 5 à 10 % du prix de vente au notaire du vendeur maximum 10 jours après la signature du compromis. L’acquéreur (seul) a selon la loi SRU le droit de renoncer à son acquisition (sans payer d’indemnité) jusqu'à 10 jours après la signature du compromis. Après la date du signature du compromis, la plupart des communes ont un délai de 2 mois pour préempter suite à la notification du notaire qui déclare à la commune les conditions de la transaction prévue.
Concernant l’offre de crédit que l’acquéreur reçoit, celui-ci a un délai de réflexion obligatoire de 11 jours avant de pouvoir accepter (ou non) le prêt bancaire proposé.
Suite à la conclusion du compromis de vente, l'acte de vente final est signé auprès du notaire dans un délai de 2 à 3 mois. Le notaire ayant effectué en amont les recherches approfondies concernant le bien en question (hypothèques, renseignements auprès de l’urbanisme etc). Le processus administratif français est long mais complet et rassurant pour l'acquéreur et le vendeur. Le notaire de l'acquéreur rédige l’acte final. Le solde du prix de vente se règle par le biais du compte du notaire.
Avant la signature de l’acte, les fonds doivent être impérativement versés sur le compte du notaire. Ce dernier calculera le prorata de la taxe foncière ainsi que le décompte des charges de copropriété (s’il y a lieu). Les signatures par les vendeurs et les acquéreurs peuvent être gérées par procuration par l’étude notariale. Par contre, si vous êtes présent et que vous ne maitrisez pas le français, vous êtes dans l’obligation d’engager un interprète.
Après la signature du compromis, le notaire verse au vendeur le revenu net de la vente après déduction des diverses dettes (hypothèques, commission d’agence, taxe de plus value etc.). A ce stade, il y a lieu de veiller aux transferts des abonnements eau, électricité, téléphone, assurances etc.
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